L’étude Finecast a sondé ce qui, aux yeux des consommateurs, caractérise la TV, la vidéo et la publicité. L’expérience la plus proche de la télévision est, comme on peut s’y attendre, la VOD telle qu’elle est proposée par les chaînes traditionnelles.
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La consommation de télévision a de nouveau fortement augmenté depuis le second confinement, mais nous n’atteignons pas les volumes lors du premier lockdown. L’augmentation est la plus notable dans les “other screen usage”.
Après le premier confinement, les niveaux de consommation des sites d’information sont rarement revenus à leurs niveaux des premières semaines de 2020. Ainsi, de nouvelles habitudes claires ont émergé et une nouvelle augmentation est perceptible.
Nielsen a publié les données sur les dépenses médias hors ligne de septembre. Par rapport au premier (-12%) et au deuxième trimestre (-38%), les chiffres du troisième trimestre ne sont pas dramatiques, mais pas non plus rassurants : -5%.
C’est une question fréquemment posée : qu’en est-il de la consommation radio pendant le lockdown ? Une étude d’Ipsos montre que la radio n’a pas souffert de la crise sanitaire. Le volume d’écoute total a même augmenté de 9 minutes.
Justin Sampson, CEO de BARB, a présenté les résultats d’une étude sur la SVOD lors de la conférence virtuelle ASI, rapportés de la même manière que la télévision classique avec le même instrument de mesure.
L’annonce du second confinement n’a pas vraiment surpris. Cela n’a pas empêché les journaux télévisés et les sites de quotidiens de voir à nouveau leurs audiences grimper durant le mois d’octobre. Cependant, les chiffres de mars ne sont pas atteints.
Le symposium ASI 2020 sur « Radio & Audio – Télévision & Vidéo » a consacré une de ses parties à un sujet d’actualité : mesurer l’attention. La professeure australienne Karen Nelson-Field a présenté les résultats d’une étude dans 6 pays.
En parallèle avec la nouvelle étude NRS sur l’audience de la presse, le CIM publiait tout récemment aussi les Brand Reports. Ces derniers comportent notamment les données de tirage et de diffusion authentifiées pour l’ensemble des titres de presse.
Le récent premier volet du Paper Reach Survey de bpost media brosse un portrait plus que flatteur, mais crédible, du Direct Mail (DM). Malgré ses nombreuses qualités, DM ne séduit pas tous les types d’annonceurs.