En général, dans le cadre de la question très large du Global Web Index, l’influence marketing se joue en “off” ou en “on”, via les médias ou via les interactions personnelles, mais nettement moins via celles et ceux qui en “font commerce”.
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Quelle est la place du “premier écran” dans l’ensemble des dispositifs qui permettent de consommer du contenu TV ou vidéo ? C’est une question qu’adresse le Global Web Index, sondage en ligne effectué en continu dans différents marchés.
S’il y a un domaine où les chiffres CIM montraient une continuité dans leurs définitions, c’est bien l’authentification de la diffusion des marques de presse. La rupture des résultats de 2022 tient en une nouvelle colonne hybride.
Le rachat de VOO par Orange est maintenant autorisé par les autorités européennes. On va donc assister à une consolidation qui ramènera le nombre de grands fournisseurs d’accès présents sur le sol belge à trois.
En complément à la volumineuse étude IPSOS sur l’e-commerce en Belgique, Space a creusé deux domaines où le Global Web Index s’intéresse aux achats réalisés en ligne.
Le Global Web Index constitue une source précieuse sur les audiences des offres digitales. Elle comporte les acteurs locaux tels que VTM GO, GoPlay, VRT MAX ou RTBF Auvio, mais aussi les plateformes internationales comme Netflix, Amazon ou Disney+.
La valeur de notre marché média dépend largement de la source et même du point de vue que l’on prend avec les données disponibles. La montée en puissance continue de la pub digitale est un phénomène que l’on peut difficilement contester.
Une étude récemment publiée au Royaume-Uni apprend ainsi qu’une forte majorité (70%) des 2.009 individus interrogés utilise une ou plusieurs méthodes pour masquer leur identité en ligne.
“Plus de 300 candidatures” selon Hugues Rey, président de l’UMA. Le Proximus Lounge a accueilli pour l’UMA Best Media Campaigns les nominés de 6 catégories AMMA, qui ont présenté leur case en 5 minutes, ainsi que les gagnants du YMCE Strategy Awards.
Une présentation de Nielsen IQ à l’UBA a fait le tour des tendances actuelles dans le monde de la grande consommation. La pression sur les prix constatée surtout l’année dernière n’a pas résulté en une baisse correspondante de volumes d’achat.
        
        
        
        