Le confinement a dopé la consommation médiatique des Belges, du moins pour les médias dont nous pouvons surveiller la portée au quotidien, comme la télévision et Internet. Mais qu’en est-il de la radio ?
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La station française C8 est disponible en Belgique francophone depuis début janvier. La chaîne a obtenu un score assez positif pour le confinement, mais ses performances sont moins bonnes aujourd’hui. Quelle en est la cause principale ?
Constatant l’érosion de la télévision linéaire auprès des jeunes générations, Ebiquity s’est penché sur l’intérêt de la vidéo en ligne comme complément. Les vidéos sur Facebook et YouTube peuvent-elles augmenter à nouveau les niveaux d’audience?
L’étude Imec Digimeter contient une énorme quantité d’informations sur le comportement en ligne des Flamands. Mais comment évolue l’utilisation de la communication en ligne pendant cette période de verrouillage?
En ces temps de confinement, les podcasts semblent constituer une recette intéressante. Pour le consommateur, cela permet de passer le temps agréablement. Pour l’annonceur, c’est une opportunité de marketing de contenu. Oui, mais pour quel public ?
Il y a actuellement une explosion d’écoute de la télévision à toutes les heures de la journée et surtout parmi les enfants et les jeunes adultes. Cela prouve que la télé reste le canal d’information et une forme de présence pour les célibataires.
Au cours de la dernière semaine de février, la fréquence du terme de recherche “coronavirus” a augmenté rapidement. En revanche, il était moins prévisible que le terme recherché soit utilisé beaucoup plus souvent en Belgique francophone.
Malgré l’énorme quantité d’informations disponibles sur Internet, il est clair qu’en temps de crise, les Belges veulent toujours être informés en masse via le traditionnel “journal télévisé”.
Les small data permettraient de fournir des valeurs plus crédibles sur la pénétration des réseaux sociaux que les big data. Résultat : Facebook est encore très bien représenté chez les post-adolescents de 16 à 24 ans (92%) tout comme Instagram (89%).
À l’heure où les investissements dans les médias offline régressent, la durée des spots publicitaires connaissent des évolutions différentes en fonction du média. C’est en télévision que la durée moyenne du spot diminue le plus significativement.
