Comment consomme-t-on la vidéo et que regarde-t-on ? C’est pour répondre à ces deux questions que Space a croisé les résultats des études Internet, Online et TV du CIM.
Plus d'articles Seen From Space
Thinkbox, le consortium britannique pour la promotion de la TV commerciale, a publié ses estimations de consommation ‘total vidéo’ pour 2020. Résultat : 5h16 de consommation totale de vidéo par jour avec 19 minutes de consommation commerciale.
L’arrivée de TF1 sur le marché publicitaire belge a permis à deux petites chaînes généralistes françaises de faire leur apparition : C8 et TMC. Les deux chaînes ont enregistré des chiffres d’audience très similaires au début de 2021.
Grâce aux trajectoires de tous ceux qui ont activé la fonction “localisation” sur leur smartphone – les “Community Mobility Reports” de Google – il est possible de se représenter la manière dont la mobilité belge tente progressivement de se rétablir.
Avec la publication par maRadio.be de résultats d’enquêtes semblables à celles déjà dévoilées pour la Flandre, on dispose maintenant d’une vue complète sur l’écoute de la radio via le digital. Le passage au numérique est en plein essor.
Une marque active dans l’e-commerce en 2020 n’a jamais autant investi dans son support médiatique offline : plus d’un demi-million d’euros en valeur brute moyenne par marque. Quant au média-mix, il est très clairement dominé par l’audiovisuel.
L’enquête MDB/Nielsen note la différence entre la valeur médiatique investie dans le nord et le sud de la Belgique. En ce qui concerne 2020, on observe une diminution plus faible dans le sud, mais les taux d’évolution ne sont pas exceptionnels.
Une étude réalisée par TVision, Lumen Research et Ebiquity évalue « le véritable coût de l’attention en publicité ». L’une des conclusions les plus frappantes est qu’ « une pub vidéo sur Facebook, c’est comme de l’affichage digital ».
En Grande-Bretagne, les éditions numériques des marques de presse sont soumises à des règles d’exclusion dans le cadre des mesures de brand safety. Reach Solutions a étudié l’impact sur les marques de presse si elles signalent des contenus choquants.
Le Reuters Institute de l’Université d’Oxford vient de publier ses prédictions pour 2021. Les revenus principaux proviendront cette année des utilisateurs, via les abonnements payants. La publicité (comme le display ou le native) ne vient qu’ensuite.
        
        
        
        