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Le poids de l’actualité semble peu conséquent pour la perception de la publicité. Et la question de la sécurité des marques en ligne, la fameuse “brand safety”, semble bien plus complexe qu’une simple liste noire de sujets réputés anxiogènes.

Selon les dernières données disponible du GWI, la pénétration déclarée de Netflix est pratiquement identique entre les deux parties du pays. Un peu comme ailleurs en Belgique, le fédéralisme des plateformes vidéo est donc à géométrie variable.

La fin du journal papier n’est pas pour demain, le “print only” pèse encore environ 57% du total des ventes, sans compter une certaine proportion parmi les ventes hybrides, mais on est bien dans une ère de glissements.

Tout juste publiée au Royaume-Uni, “une étude prouve que la publicité est un facteur profitable de croissance pour l’économie des entreprises et que toutes les formes de publicité rapportent, en particulier quand leurs effets prolongés sont mesurés”.

C’est la première fois depuis qu’elle est mesurée dans le Digimeter que la plateforme Netflix enregistre un léger déclin. De même, l’abandon des abonnements a légèrement augmenté pour tous les services de streaming.

Quelle est la confiance des Belges dans les médias ? À quels types de médias font-ils le plus et le moins confiance ?

La perte de revenus due à une interdiction de la publicité pour les alcools dans les médias traditionnels n’est pas bien perçue par les médias belges, surtout si les plateformes et les médias étrangers ne sont pas concernés.

La publication de la cuvée 2023 du Benchmark conjoint de l’UBA et de l’UMA pour les investissements médias nets n’a pas nécessairement été une surprise : la croissance de la part du digital dans son ensemble était un fait attendu.

Lorsqu’on évoque le contexte d’une publicité TV, on désigne plutôt l’environnement rédactionnel, en clair les émissions qui entourent l’écran publicitaire. C’est sous un angle assez différent que Thinkbox a publié une étude.

Digimeter 2023 constate une relative stabilité de l’utilisation des réseaux sociaux. Dans le même temps, plus de 60% de leurs utilisateurs estiment que ces mêmes réseaux sociaux sont trop chronophages.