La Belgique n’est pas l’Eldorado des influenceurs et créateurs de contenus. C’est ce qui ressort d’une enquête Eurobarometer menée en octobre dernier auprès de 1.027 répondants belges.
Plus d'articles Seen From Space
Les podcasts : c’est devenu un must chez les éditeurs. Au niveau mondial, le marché publicitaire semble suivre et partager l’enthousiasme pour les podcasts. En Belgique, c’est moins clair.
Une moyenne de 2% par an : c’est le taux de croissance que l’on observe pour l’utilisation des outils digitaux de jeux entre 2018 et aujourd’hui, selon les déclarations faites par les répondants du Global Web Index (GWI).
Le navigateur Chrome de Google est l’incontesté leader du marché belge, avec 54% du volume consulté en ligne, selon Statscounter. C’est dire si la longue saga de la disparition possible du cookie tiers dans Chrome était vue comme cruciale.
Selon les répondants du Digital News Report, distinguer facilement le vrai du faux dépend de la plateforme et dans certains cas de la langue de l’utilisateur.
Si le temps du tout gratuit en ligne semble bien révolu, l’avènement du “tout payant” pour les contenus ne semble pas encore en vue.
En France, le “mouvement” (c’est comme cela qu’il se qualifie) #DemainLaPresse vient de révéler les résultats d’une vaste étude sur l’attention. Presse et cinéma en ressortaient comme champions de l’attention publicitaire.
Le streaming est le mode d’écoute qui constitue aujourd’hui le plus gros challenger de la radio live. Ceci étant, cette dernière pèse encore pratiquement deux heures et demie d’écoute journalière.
Les graphiques sont basés sur deux sources CIM qui livrent leurs données en continu : l’étude d’audience TV d’une part et celle qui mesure l’Internet belge, toutes deux permettant une analyse en jours datés.
Les réseaux sociaux représenteraient 22 à 23% du total de l’investissement média dans le monde, une valeur très supérieure à ce qui est enregistré en Belgique où la télévision linéaire reste de loin le principal canal publicitaire.