Plus d'articles Google 2

Dans un arrêt très attendu, la cour d’appel de Paris a jugé que l’Autorité de la concurrence française était bien fondée le 9 avril à obliger Google à engager des négociations sur ces droits voisins avec les éditeurs.

Google doit négocier avec les médias français les droits dits “voisins” sur les informations dont le géant de l’internet distribue des fragments sur sa plateforme. Cela a été confirmé par une cour d’appel à Paris.

Google a annoncé être proche d’un accord avec la presse d’information générale sur la rémunération de ses contenus, à la veille d’une décision de justice en France dans ce dossier qui empoisonne les relations du géant internet avec les éditeurs.

En août 2020, 44,2 millions d’individus se sont connectés à internet chaque jour, soit 70,4% des Français. Ce sont 600 000 internautes de plus qu’un an auparavant.

«Google News showcase ». C’est le nom du nouveau partenariat que Google va signer avec des éditeurs de presse du monde entier. « Cet engagement financier rémunérera des éditeurs pour créer et sélectionner des contenus de haute qualité ».

Les trajectoires de tous ceux qui ont activé la fonction de localisation sur leur smartphone – les ‘Community Mobility Reports’ de Google – ont permis de dresser un tableau de la reprise de la mobilité belge après la crise du coronavirus.

Les 11 premiers sites d’actualité belges qui ont obtenu le label de qualité Digital Ad Trust pour le display sont désormais en vente groupée sur DV360, la plateforme marketing de Google.

Le montant total des aides n’a pas encore été précisé. Celles-ci s’adresseront aux médias qui « produisent de l’information originale au niveau local pendant ce temps de crise ». Les demandes doivent être adressées à Google avant jeudi 30 avril, 9h.

ll y a un an, Google refusait de payer les éditeurs français pour leur contenu. Aujourd’hui, il a 3 mois pour négocier avec les éditeurs qui le souhaitent. Ces négociations devront aboutir à « une proposition de compensation de la part de Google ».

Il y a un an, Google refusait de payer les éditeurs français pour leur contenu. Aujourd’hui, il a 3 mois pour négocier avec les éditeurs qui le souhaitent. Ces négociations devront aboutir à “une proposition de compensation de la part de Google”.