Prenez toutes les actualités, reportages, informations et demandez-vous : tout ce que nous recevons est-il réellement véridique ? Attention, on ne parle pas juste de fake news flagrantes. Le philosophe moraliste Bart Pattyn (KU Leuven) explique.
Space propose une brève analyse d’une étude de #DemainLaPresse : selon La Preuve 2025, les fake news circulent surtout sur les réseaux sociaux. La presse écrite est jugée la plus fiable, mais reste sous-financée en pub.
[Provided by PUB] La Commission européenne a sélectionné l’Agence France-Presse (AFP) à l’issue d’un appel d’offres pour participer à cinq nouvelles plateformes européennes de lutte contre la désinformation dans 10 pays de l’Union européenne.
“Eerste Hulp Bij Twijfel” est une collaboration entre les fact-checkers de Knack et VRTNWS, la plateforme de fact-checking deCheckers, l’entreprise TextGain et les universités UA, VUB et KUL. Elle reçoit le soutien financier du gouvernement flamand.
Une majorité de Belges fait davantage confiance aux médias traditionnels – la télévision et la presse écrite – pour s’informer, ressort-il d’une enquête réalisée auprès de 55.347 citoyens européens âgés de 15 ans ou plus.
La réalité est malléable. De Wereld van Sofie sur Radio 1 a accueilli l’éthicien et philosophe moral Bart Pattyn (KU Leuven), qui a discuté des fake news et de leur impact sur l’expérience humaine de la réalité. Les médias y ont une responsabilité.
EDMO Belux, une nouvelle plateforme plurilingue de lutte contre la désinformation financée par l’Union européenne, a été lancée. Elle publiera quotidiennement des vérifications d’informations sur son site, ainsi que des études universitaires.
Le Sénat a voté un rapport d’informations présentant plus de 50 recommandations afin de lutter contre les fake news. Il faut renforcer la lutte active contre la désinformation et sensibiliser les citoyens.
La France s’apprête à créer une agence nationale de lutte contre les manipulations de l’information venant de l’étranger visant à “déstabiliser l’Etat”, a annoncé le Secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, Stéphane Bouillon.