Aides à la presse accélérées, chômage partiel pour les pigistes, projet de loi audiovisuel revu pour prendre en compte la crise actuelle. Le ministre de la Culture a listé les mesures de soutien au secteur des médias sur lesquels il travaille.
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Les écoutes actives en France ont progressé de 18% en mars 2020 par rapport à mars 2019, soit 30 millions de sessions en plus.
La fréquentation des sites d’info reste élevée sur les semaines 3 et 4 du confinement avec respectivement +79% et +70% par rapport à une semaine normée. Désormais, l’ACPM propose de suivre la fréquentation des sites/apps quotidiennement sur son site.
Initié par l’Hadopi, le baromètre sur les pratiques culturelles à domicile en période de confinement révèle que 46 % des internautes déclarent accéder à un abonnement payant de vidéo à la demande pendant la période de confinement, contre 36% en 2019.
Le montant total des aides n’a pas encore été précisé. Celles-ci s’adresseront aux médias qui « produisent de l’information originale au niveau local pendant ce temps de crise ». Les demandes doivent être adressées à Google avant jeudi 30 avril, 9h.
Une prise de parole qui fait office de record absolu en surpassant celle du 16 mars. Le mois dernier, le président avait alors rassemblé 35,4 millions de téléspectateurs.
Le SRI constate une baisse des revenus publicitaires digitaux : – 40% pour mars et jusqu’à -80% sur le marché display pour avril. En réaction, Syndicat et autres adhérents se mobilisent pour monter un plan de relance durable en plusieurs initiatives.
Ce mook de vulgarisation scientifique s’adresse à tous les adultes et jeunes adultes, curieux de mieux comprendre le monde qui les entoure. Parution prévue pour le 17 avril prochain. Prix du numéro : 9,90€.
Le pure player Geek Junior dit au revoir à son exclusivité digitale. Dès avril prochain, le média lancera son propre mensuel : Geek Junior le Mag. Ce magazine s’adresse aux adolescents pour les aider à mieux maîtriser leur vie numérique.
Il y a un an, Google refusait de payer les éditeurs français pour leur contenu. Aujourd’hui, il a 3 mois pour négocier avec les éditeurs qui le souhaitent. Ces négociations devront aboutir à “une proposition de compensation de la part de Google”.