Sopress lance ce 4 juin son nouveau magazine baptisé So Good. Il est « dédié à l’optimisme et à celles et ceux qui font bouger les lignes ». Né d’un partenariat avec Ulule, le magazine qui se veut raconteur d’histoires compte déjà 14.000 pré-abonnés.
ARCHIVE ▸ Line Duquesne
Kantar a sorti les résultats de la 4e vague de l’étude Kantar «covid-19 Monitor». Des chiffres sur l’évolution du marché publicitaire durant la période de confinement aux premières semaines de déconfinement analysés média par média.
Le magazine paraît le 27 mai et propose en supplément permanent ‘TV Digitaal’. Une grande première en Belgique puisqu’il s’agit du premier guide de streaming flamand.
Les salariés de la filiale à Marseille de Presstalis, la SAD, en liquidation judiciaire, ont proposé lundi un projet de société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) afin de “sauvegarder l’emploi” et d'”assurer la pluralité de la presse”.
L’outil en ligne Topiq scanne et analyse tous les articles d’actualité en ligne du monde entier. En fonction des sujets, vous obtenez des tendances pertinentes et actuelles. Cette semaine, Topiq a fait une analyse des marques de e-commerce.
La relance économique va se faire de façon progressive et c’est sur ce même rythme que se calque le programme. 366 propose à ses annonceurs 8 offres valables sur 100 jours, qui correspondent à une gamme de problématiques variées.
La progression de l’écoute digitale de la Radio se confirme sur le mois d’avril. La tendance constatée au mois de mars s’accentue et confirme le très fort relais de l’écoute en ligne de la radio, à domicile.
Cet ouvrage permet de mesurer la richesse de l’offre des chaînes numériques françaises et la diversité des réseaux de distribution en France. Une initiative du CSA, du CNC, de l’ACCeS et du SNPTV.
Kantar, France Pub et l’IREP ont croisé leurs données pour réalisé un Baromètre Unifié du marché publicitaire relatif au premier trimestre de 2020. Dès le 1er trimestre 2020 le constat est clair, l’ensemble des médias est impacté par la crise.
Le tribunal de commerce de Paris a suivi ce plan soutenu par la direction de Presstalis en plaçant l’entreprise en redressement judiciaire, avec une période d’observation de deux mois.
